Dans le silence d’un été mouvant,
Les roses, messagers d’espoir, s’ouvrent et veillent,
Leurs pétales, comme des trésors murmurés,
Portent la couleur du cœur, écarlate et vermeille.
Elles parlent sans voix, dans un langage éphémère,
De paix, de générosité, de rêves à venir,
Chaque fleur, un dépôt tissé de lumière,
Un rappel que tout doit partir, pour mieux revenir.
Leur beauté fragile, acceptant leur labeur,
S’épanouit dans l’ombre, dans la patience du temps,
Et dans leur science, elles offrent leur douceur,
À ceux qui savent écouter, au-delà du vent.
©Gabrielle Fourcault
Dans le silence d’un été mouvant,
Les roses, messagers d’espoir, s’ouvrent et veillent,
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